Il faut d’abord définir les points d’ancrage. Puis le geste sera le guide, la pensée non-contrôlée. À l’inverse des Destinées, dévider le fil sans jamais le couper, le laisser suivre son cours, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus. Et comme la pensée cède au corps, le corps tisse son réseau neuronal, aléatoire, qui s’élance et se mêle hors de la surface plane, sans début et sans fin. Ce n’est pas un récit linéaire.