Illustration pour la novella de Sarah Pinsker, Deux vérités, un mensonge, dans le numéro 107 de la revue Bifrost aux éditions Le Bélial. Dessin réalisé à l’encre de Chine. Couverture réalisée par Florence Magnin.


Parution en juillet 2022
Artiste plasticienne et autrice
Place Saint-Sulpice, 75006 Paris
Dédicace de mes livres Ta’aroa et Racines d’écume sur le stand des éditions Apeiron (stand 222), le jeudi et le dimanche après-midi. Entrée libre et gratuite.
Illustration pour la novella de Priya Sharma, Des bêtes fabuleuses, dans le hors-série 2022 de la collection Une Heure Lumière aux éditions Le Bélial. Dessin réalisé à l’encre de Chine. Couverture réalisée par Aurélien Police.
Lire sur le site de l’éditeur.
Parution en mai 2022
Les Ateliers Moret, 8 rue Saint Victor, 75005 Paris
C’est reparti ! Les ateliers Moret, imprimeurs taille-douciers, exposent dans leurs locaux historiques treize artistes de l’atelier : Frédéric Chaume, Théo Costa-Marini, Paul Diemunsch, Anouck Faure, Clémence Fernando, Clément Fourment, Mila Gomez, Yacine Gouaref, Diane Latrille, Leopold Poyet, Anne Rolland, Carole Texier, Suo Yuan Wang.
Du lundi au vendredi de 14h à 18h / Du samedi au dimanche de 14h à 19h.
Vernissage le jeudi 12 mai à partir de 18h30
Palais de la Femme, 94 rue de Charonne, 75011 Paris
Salon des éditeurs indépendants.
Dédicace et présentation de mes livres Ta’aroa et Racines d’écume sur le stand des éditions Apeiron. Également en dédicace de la revue Graminées le dimanche 24 à 15 heures, sur le stand central.
Entrée libre et gratuite, le vendredi de 14 heures à 20 heures, le samedi de 11 heures à 20 heures, le dimanche de 11 heures à 19 heures.
Livre d’art et de poésie, publié aux éditions Apeiron. Ta’aroa s’ouvre comme un coffret pour dévoiler une fresque de près de deux mètres, qui s’inspire des étapes de la création du monde par le dieu Ta’aroa, célèbre mythe cosmogonique de l’archipel de la Société, Polynésie française. Le verso du livre comporte également un texte poétique en langues française et tahitienne.
Anouck Faure a reçu pour cet ouvrage le soutien de la Maison de la Nouvelle-Calédonie.
La traduction du texte en reo Tahiti a été réalisée par l’équipe de Tūreo.
Mini livre accordéon, publié aux éditions d’art poétique Apeiron. Racines d’écume reprend deux leporellos et divers dessins inspirés des paysages, roches, végétations de Nouvelle-Calédonie, ainsi qu’un court poème. Il parle des racines intérieures qui nous relient à nos terres d’origine, de nostalgie et de souvenirs.
Couverture du roman steampunk L’Empire s’effondre de Sébastien Coville, publié aux éditions Folio SF (Gallimard). L’illustration a été réalisée en gravure (eau-forte et aquatinte) avec ajout de couleurs numériques.
Lire sur le site de l’éditeur.
Parution en mai 2022
Couverture du roman fantastique Le phare au corbeau de Rozenn Illiano, publié aux éditions Folio SF (Gallimard). L’illustration a été réalisée en gravure (eau-forte et aquatinte) avec ajout de couleurs numériques.
Lire sur le site de l’éditeur.
Parution en mars 2022
Galerie Art Montparnasse, 2 bis rue Raymond Losserand, 75014 Paris
Les artistes du groupe La Seine et leurs invités présentent leurs estampes de vœux 2022 : petites estampes originales à offrir ou à conserver, à un tarif fixe de 20€ pour tous les artistes.
Samedi 4 décembre 2021 de 14h à 20h
Dimanche 5 décembre 2021 de 10h à 19h
Couverture du roman de science-fiction La nuit du faune de Romain Lucazeau, publié aux éditions Albin Michel Imaginaire. L’illustration a été réalisée en gravure (eau-forte et aquatinte) avec ajout de couleurs numériques.
Conte spéculatif, La Nuit du Faune convoque avec poésie les théories cosmologiques les plus échevelées, et renoue avec la tradition du Micromegas de Voltaire ou des Voyages de Cyrano. Lire sur le site de l’éditeur.
Parution en septembre 2021
Fondation Taylor, 1 rue de la Bruyère, 75 009 Paris (Métro Saint-Georges)
Chaque année, l’association Pointe et Burin présente à la fondation Taylor une sélection d’artistes contemporains et met en lumière un pays ou une structure. Cette année, l’estampe de Chaville est mise à l’honneur, ainsi que l’aquafortiste Jacques Houplain, récemment disparu.
À l’issue de l’exposition, Matthieu Coulanges, créateur d’outils pour l’estampe, a attribué à Anouck Faure son prix de l’année 2021.
Tour Philippe-le-Bel, 31 avenue Gabriel Péri, 30400 Villeneuve-lez-Avignon
L’événement, à l’origine prévu au printemps puis à l’automne 2020, a été reporté en 2021 en raison de l’épidémie de Covid-19.
Depuis 2013, la Ville de Villeneuve-lez-Avignon, sur la proposition de Dominique-Louis Heraud, plasticien et graveur villeneuvois, a souhaité participer à la Fête nationale de l’Estampe qui a lieu tous les 26 mai.
Chaque année, la ville invite quatre artistes contemporains à présenter leur travail de gravure.
L’exposition « Regard sur l’estampe contemporaine » est devenue une des plus importantes expositions d’estampe contemporaine en France et un rendez-vous incontournable de la Fête nationale de l’Estampe. En 2021, pour la huitième édition, la Ville de Villeneuve lez Avignon invite les artistes contemporains Anouck Faure, Jeanne Rebillaud-Clauteaux, Matthieu Perramant et Dominique-Louis Heraud, commissaire de l’exposition.
Réalisation de gravures à l’eau-forte (lignes à main levée et textes) sur les douze exemplaires de la parure d’artiste Private architecture (oui oui non non) de Valérie Mannaerts, éditée par la Fondation Thalie, Bruxelles.
Private architecture (oui oui non non), Valérie Mannaerts, 2020,
en édition limitée pour la fondation Thalie
Parures en laiton plaqué or et céramiques
Réalisation par Amandine Ducrot Studio, Paris – Photos de Martina Bjorn
Place Saint-Sulpice, 75006 Paris
Exposition et vente d’estampes contemporaines, en compagnie de Laurence Malherbe, graveuse, et de Martine de Baecque-Blondel, lithographe.
Entrée libre le lundi de 11 heures à 22 heures et le mardi de 11 heures à 20 heures.
Cité internationale des arts, 18 Rue de l’Hôtel de ville, 75004 Paris
Événement annulé en raison de l’épidémie de Covid-19
Exposition des lauréats 2019 du Prix Charles Oulmont de la catégorie Arts plastiques, Anouck Faure (graveuse) et Falaï Baldé (peintre), et concert des lauréats de musique, Manuel Vioque-Judde (altiste) et Benoît Menut (compositeur). Entrée libre.
Manoir du Bel Ebat, 2 Avenue de Nemours, 77210 Avon
Événement annulé en raison de l’épidémie de Covid-19
Le parc de Bel Ebat avec son Manoir du XVIIème siècle sera un lieu où des artistes invités pourront se consacrer à leur art. Ce lieu a accueilli dans le passé de grands musiciens pour qu’ils puissent se ressourcer et travailler (Saint-Saëns, Debussy, Ravel etc.). Il sera pendant un temps « habité » de nouveau par des artistes. Cet atelier éphémère où musiciens, plasticiens, cinéastes travailleront côte à côte, sera ouvert au public. Les visiteurs pourront ainsi découvrir les dessous et les ressorts de la création d’une œuvre.
Centre d’activités sportives et culturelles (CASC) des Finances, 139 rue de Bercy, 75012 Paris
Exposition collective de peinture, collage, dessin, gravure, avec les membres du Cercle des Arts Plastiques de l’Administration des Finances (CAPAF).
Vernissage mardi 14 janvier sur invitation uniquement.
La commission des Arts de la Fondation Charles Oulmont (Fondation de France), présidée par Maria Lund, a attribué à Anouck Faure l’un de ses deux prix d’arts plastiques de l’année 2019, récompensant un univers « onirique, très libre et en même temps d’une grande précision ». La commission souligne le travail d’une artiste qui « établit une passerelle entre les graveurs de la Renaissance et les dessinateurs de bande-dessinée du 21è siècle. […] Ceci tout en explorant les racines spécifiques et complexes qui sont les siennes. »
La remise des prix aura lieu le 14 décembre au Musée des Avelines, à Saint-Cloud. Une exposition des lauréats de la catégorie arts plastiques des années 2015 à 2019 est prévue, les dates sont encore à l’étude.
École d’art Janine Haddad, Sarcelles
Exposition collective. La biennale de Sarcelles présente, pendant deux semaines, près de quatre cents œuvres de graveurs et graveuses d’une dizaine de pays, dans un lieu d’exposition de 1000 m2 spécialement dédié à l’événement. Le Japon sera à l’honneur à travers vingt artistes parmi les plus grands graveurs japonais contemporains.
Vernissage samedi 23 novembre à 18 heures.
La Maison de la Nouvelle-Calédonie à Paris a fait l’acquisition, pour son fonds d’art contemporain et océanien, d’un des douze exemplaires du livre d’artiste Racines, rivages, réalisé à l’automne 2018 en résidence au Centre culturel le Bief d’Ambert (Puy-de-Dôme). La remise de l’oeuvre a eu lieu à la Maison de la Nouvelle-Calédonie, en présence du directeur Joël Viratelle et de la cheffe du service des Publics, de l’action culturelle et de la communication, Anne Bihan.
Racines, rivages est un livre leporello, réalisé en eau-forte sur cuivre, tissant une hybridation entre les paysages de Nouvelle-Calédonie et ceux d’Auvergne. Imprimées sur papier Richard de Bas, les gravures se déploient comme un appel à l’errance dans un univers de roches et de sous-bois, entre contes et réalité. Les racines, au cœur de ce travail graphique, deviennent alors métaphore du lien nous unissant à ces terres de vie qui forgent notre imaginaire.
Couverture du roman de l’autrice argentine Angélica Gorodischer, Trafalgar, publié en français aux éditions La Volte. L’illustration a été réalisée en gravure (eau-forte et aquatinte) avec rehauts d’aquarelle.
Il ne faut pas interrompre Trafalgar Medrano quand il se met à raconter ses tournées commerciales dans la galaxie… À mi-chemin entre réalisme magique et roman picaresque, Trafalgar, en dix histoires entretissées, nous entraîne en Amérique avec Christophe Colomb, sur une planète où les morts harcèlent les vivants, ou dans un monde où toutes les époques se déroulent en même temps.
Angélica Gorodischer est une Ursula Le Guin sud-américaine : humaniste et pleine d’un humour subtil, elle bouscule les cerveaux et les âmes en tissant des contes aussi légers que profonds.
Parution le 10 octobre 2019
Espace culturel Victor Prudhomme, Souppes-sur-Loing
Exposition collective, biennale réunissant dix graveurs et graveuses dans le cadre du festival Arts en juin :
Claude Abeille, Hélène Baumel, André Bongibault, Claude-Jean Darmon, Anouck Faure, Michèle Joffrion, REM, Sophie Sirot, Ève Stein, Mikio Watanabe
Vernissage le 1er juin à 11 heures
Salle des Congrès, Saint-Junien
Ateliers libres et dans le cadre scolaire de linogravure, démonstrations et présentation d’estampes, autour du thème « Science et fiction » et de la création de livres pour la jeunesse.
Grand Palais, Paris — Stand du Moulin Richard de Bas
Présentation du livre d’artiste Racines, rivages, réalisé lors de la résidence à Ambert sur papier artisanal Richard de Bas, sur le stand des papetiers
Manufacture d’images, Centre culturel le Bief, Ambert
Exposition de sortie de résidence
Manufacture d’images, Centre culturel le Bief, Ambert
Résidence de création autour des techniques d’estampe
Racines, rivages est le résultat de la résidence artistique menée à l’automne 2018 au sein de la Manufacture d’images. Sur ce livre leporello, réalisé en eau-forte sur cuivre, se tisse une hybridation entre les paysages de sa Nouvelle-Calédonie natale et ceux d’Auvergne, dont sa famille est originaire.
Imprimées sur papier Richard de Bas, ancrage matériel dans l’histoire et le territoire du Livradois-Forez, les gravures se déploient comme un appel à l’errance dans un univers de roches et de sous-bois, entre contes et réalité. Les racines, au coeur de ce travail graphique, deviennent alors métaphore du lien nous unissant à ces terres de vie qui forgent notre imaginaire.
Résidence financée avec le soutien de la DRAC Auvergne Rhône-Alpes.
Vidéo de présentation réalisée par Sylvain Péraudeau (Moulin Richard de Bas)
Articles
Espace Carpeaux, Courbevoie
Rivages enracinés évoque les paysages de Nouvelle-Calédonie, où l’océan embrasse la roche des montagnes, les racines des mangroves. Les racines sont également la métaphore du lien émotionnel qui unit une personne à son sol. Elles symbolisent la nature omniprésente dans les mythes cosmogoniques océaniens, qui ancrent l’existence d’un peuple dans sa terre en forgeant un rapport sacré entre l’un et l’autre.
À travers ces dessins et gravures s’exprime un paysage intérieur intime qui se construit de souvenirs, d’imaginaire, d’observation, et s’enrichit des formes des nouveaux espaces rencontrés. Peu à peu, la végétation atypique et foisonnante des rivages calédoniens se mêle aux essences des forêts du Gâtinais et aux montagnes auvergnates, pour tisser de nouveaux paysages.